jeudi 14 juin 2007

DIMENSION ZERO

DIMENSION ZERO - THIS IS HELL ( 2003)











DIMENSION ZERO est un groupe suédois ( oui encore un) qui exécute un DEATH METAL MÉLODIQUE. A signaler d'au départ ce groupe est née suite au départ de membres d'IN FLAMES.



1.The Introduction To What This Is02:38
2.Dimension Zero02:53
3.Immaculate03:53
4.Blood On The Streets03:09
5.Into & Out Of Subsistence03:09
6.The Final Destination04:50
7.Amygdala03:27
8.Killing My Sleep04:01
9.This Light04:28
10.Di'I Minores03:52

ENTER IN ANOTHER DIMENSION !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

THE THIRTEENTH FLOOR

THE THIRTEENTH FLOOR ( PASSE VIRTUEL) ( 1999) est un film de science fiction us réalisé par JOSEF RUSNAK ( réalisateur qui n'a pas fait beaucoup de chose mais à quand même réalisé un épisode de SHIMANSKI (énorme!!!!)), avec CRAIG BIERKO ( AU REVOIR A JAMAIS, LAS VEGAS PARANO, DE L'OMBRE A LA LUMIERE, SCARY MOVIE 4), ARMIN MUELLER-STAHL ( JAKOB LE MENTEUR, KAFKA, THE GAME, LE PACIFICATEUR, X-FILES LE FILM, MISSION TO MARS) et GRETCHEN MOL ( DONNIE BRASCO, LES JOUEURS, ROAD TO GRACELAND, ATTRACTION, GET CARTER).









Synopsis: Passionné de logiciels et des années trente, Hannon Fuller est parvenu à recréer l'époque qu'il affectionne, dans laquelle il peut se projeter. Au cours d'un de ses voyages virtuels, il fait une découverte aussi fascinante qu'effrayante, dont il cherche à faire part à son associé, Douglas Hall. Malheureusement, il est assassiné avant d'avoir pu communiquer son secret. Pour l'inspecteur McBrian, Douglas devient le suspect ideal. Pour prouver son innocence, Douglas décide de trouver l'assassin de son ami dans son passé virtuel.



Bref, voilà un film de science fiction qui rappellera MATRIX, DARK CITY ou encore EXISTENZ. Un film qui passe super bien et qui est une bonne surprise. Un film qui été passé inaperçu lors de sa sortie et c'est dommage car le scénario est pas mal du tout même si par moment on s'y perd. le mélange année 30- "futur" est une bonne idée. les effets spéciaux ne sont pas le plus important ici, c'est plus les dialogues et les mises en situations. A voir une bonne surprise pour un film de SF pas mal du tout.

HARAKIRI

HARAKIRI (SEPPUKU) ( 1962) est un chambara réalisé par KOBAYASHI MASAKI ( KWAIDAN, REBELLION), avec TATSUYA NAKADAI ( THE SEVEN SAMOURAI, SWORD OF DOOM, REBELLION, KILL LA FORTERESSE DES SAMOURAIS, BANDITS CONTRE SAMOURAIS, GOYOKIN, KWAIDAN, SANJURO, YOJIMBO), MIKUNI RENTARO ( SAMURAI 1, L'AMANT, KWAIDAN, ZATOICHI 16 et 23) et SATO KEI ( ONIBABA, KWAIDAN, SAMURAI SPY, TATOUAGE, HANZO THE RAZOR 2, ZATOICHI 25, SHAOLIN KARATE).









Synopsis:

Japon, 17ème siècle, début de l'ère Edo. Après des siècles de guerres incessantes, la paix nouvelle et les profonds remaniements de la société féodale japonaise imposés par le gouvernement centralisé du shogun Tokugawa jettent sur les routes de nombreux samurais sans emploi, des ronins sombrant peu à peu dans la misère.
C'est dans ce contexte particulier qu'un vieux ronin vient frapper à la porte d'un fief pour demander la permission de pratiquer le seppuku (le suicide rituel destiné aux samurais) sur son domaine afin de mettre un terme honorable à son existence miséreuse. Soupçonnant un chantage (de nombreux ronins agissaient ainsi afin d'obtenir de l'argent de la part de seigneurs trop pressés de se débarrasser d'eux), l'intendant du fief entame alors pour le visiteur le récit tragique du seppuku forcé d'un précédent ronin venu avec la même requête sans véritable intention d'aller jusqu'au bout. Mais la résolution du vieux ronin ne semblera pas faiblir et il entamera à son tour le récit de sa propre misère. Les deux histoires se feront peu à peu écho à mesure que les préparatifs du seppuku demandé avanceront, plongeant les dirigeants du fief dans la perplexité.



Bref, voilà une nouvelle oeuvre de KOBAYASHI qui est un classique. La réalisation est énorme, (plan fixe qui donne une intensité aux dialogues), des décors pas mal du tout et des acteurs notamment TATSUYA NAKADAI qui sublime son rôle. Un scénario bien pensé et comme dans REBELLION qui critique les traditions pour un humanisme de rigueur. A voir c'est un classique du chambara et qui est magistrale même si certains trouveront encore une fois des passages un long mais cela est fait pour donner de l'intensité à ce drame.