jeudi 18 janvier 2007

OZ

Le succès dernièrement de PRISON BREAK m'a rappelé un série : OZ que j'avais trouver excellent.














Synopsis : Oswald. Pénitencier de haute sécurité.





Emerald city. Quartier expérimental de la prison créé par le visionnaire Tim McManus qui souhaite améliorer les conditions de vie des détenus. Mais dans cet univers clos et étouffant se recrée une société terrifiante où dominent la haine, la violence, la peur, la mort. Où tout espoir est vain, où la rédemption est impossible. "Oz est l'endroit où je vis. Oz est l'endroit où je vais mourir, où la plupart d'entre nous vont mourir. Ce que nous sommes importe peu. Ce que nous allons devenir ne compte pas" explique le narrateur depuis sa cage en verre. Bienvenue dans l'antichambre de l'enfer.














Bref, une série qui est HARD car, on a de la violence a outrance quand ce QHS très spécial ou les différentes communautés ( aryens, gangsters noirs, musulmans, latinos, mafieux italiens, bikers, chrétiens...) font et défont des alliances pour prendre le pouvoir dans la prison. Les meurtres sont parfois extrême pour une série TV, on parle aussi de sexe (très gay évidement) et de drogue ( mais où est le Rockn'Roll?). La série comporte 6 saisons qui ont été diffusé sur la chaîne câblé américaine HBO a qui l'ont doit notamment LES SOPPRANOS ou encore SIX FEET UNDER (SIX PIEDS SOUS TERRE). les saisons sont en moyenne composées de 8 épisodes ( excepté la 4ème saison qui est composé de 16 épisodes) d'une durée avoisinant l'heure. Une série donc plus extrême que PRISON BREAK (la première saison) et qui reste dans le milieu carcérale mais très fort au niveau de l'intensité.

INVASION OF THE BODY SNATCHERS

INVASION OF TE BODY SNATCHERS ou L'invasion des profanateurs de sépultures ( traduction totalement raté d'ailleurs car il n'y a aucune sépultures dans le films!!!) est un film fantastique en noir et blanc de 1956.










Synopsis: Des habitants d'une petite ville des Etats-Unis sont victimes d'une étrange psychose et prétendent que des membres de leur famille ou leurs amis ont été dépossèdes de leur identité.





Bref, un film qui m'a rappelé la série noir et blanc LA QUATRIÈME DIMENSION ( THE TWILLIGT ZONE) mais aussi LES ENVAHISSEURS. Un film qui est très politisé quand on y réfléchit car le fait d'être dépossédés de son identité renvoi à l'idée de communiste (du moins c'est une des idées que les américains en avait) et même que cette chasse, poursuite renvoi au McCartysme ( chasse au sorcière d'espion soviétique et communiste) ce qui s'explique du fait de être en pleine guerre froide à une des périodes les plus extrême. Donc si vous vous rappelez et que vous aimiez LA 4ÈME DIMENSION vous aimerez ce film.

THE BLACK DAHLIA

THE BLACK DAHLIA est le dernier film de BRIAN DE PALMA (réalisateur entre autre de SCARFACE, LES INCORRUPTIBLES, L'IMPASSE, MISSION IMPOSSIBLE, SNAKE EYES) , avec JOSH HARTNETT(vu dans HOLLYWOOD HOMICIDE, 40 JOURS ET 40 NUITS), AARON ECKHART (vu dernièrement dans THANK YOU FOR SMOKING), SCARLETT JOHANSSON ( vu dans LOST IN TRANSLATION, THE ISLAND) et HILARY SWANK ( connu depuis MILLIONS DOLLAR BABY).










Synopsis:Dans les années 40, à Los Angeles, Bucky et Lee, deux inspecteurs, s'attaquent à une affaire de meurtre particulièrement difficile. Une starlette, Elizabeth Short, a été découverte atrocement mutilée. Sa beauté et sa fin tragique deviennent les sujets de conversation de toute la ville.
Certains sont prêts à tout pour en tirer bénéfice... ou cacher leurs secrets. Quels étaient les liens de la victime avec la puissante famille Linscott ? Que vivait-elle dans son intimité ? Et avec qui ? Au-delà des apparences, l'enquête commence...





bref, un film qui rappel L.A. CONFIDENTIAL , normal en même temps puisque ce sont des adaptations du même auteur JAMES ELROY. Je dois avouer que j'avais un peu peur de JOSH HARTNETT car pour moi il n'avait fait que de la merde en rôle principale dont le pire était HOLLYWOOD HOMICIDE, mais je pense que ce film est sa meilleur prestation. Un scénario pas mal mais je préfere celui de LA C. Au détour de quelques scènes, on retrouve la patte de DE PALMA notamment le travelling one shoot quand il rencontre la famille. Un bon thriller avec cette ambiance noir qu'avait aussi LA CONFIDENTIAL.