jeudi 8 février 2007

BATMAN

BATMAN, le premier, si l'on excepte la version de 1968, est un film de TIM BURTON( EDWARD AUX MAINS D'ARGENT, BIG FISH, SLEEPY HOLLOW, LA PLANÈTE DES SINGES) avec MICHAEL KEATON ( le mec qui ressemble à JULIEN LEPERS, JACKIE BROWN, WHITE NOISE), JACK NICHOLSON (SHINING, VOL AU DESSUS D'UN NID DE COUCOU, EASY RIDER, MARS ATTACKS!, THE PLEDGE et derniérement THE DEPARTED) et KIM BASINGER (JAMAIS PLUS JAMAIS, LA CONFIDENTIAL, 8 MILES, THE SENTINEL).










Synopsis: Le célèbre et impitoyable justicier, Batman, est de retour. Plus beau, plus fort et plus dépoussiéré que jamais, il s'apprête à nettoyer Gotham City et à affronter le terrible Joker...





Bref, un film de TIM BURTON est rarement décevant, BATMAN était fait pour lui car la noirceur mélangé à la poésie c'est son truc et dans ce film il fait ressortir ces deux aspects. Grâce notamment au décor qui ont eu l' OSCAR en 89 mais surtout à JACK NICHOLSON car ce qui fait que c'est un bon film c'est la performance de NICHOLSON dans le rôle du JOKER. KEATON n'est pas super excellent mais c'est un des meilleur pour ce rôle avec peu être CHRISTIAN BALE. De la saga BATMAN avec BATMAN LE DEFI de BURTON aussi ( peut être dans une prochaine chronique) ce sont les meilleurs adaptation, les deux suivante était raté et le dernier BATMAN BEGINS revenant vers cette noirceur qui caractérise si bien l'homme chauve souris est pas mauvais mais n'égale pas ce premier opus. A voir absolument car Kultissime!!!!

FRANCE - ARGENTINE

Hier soir, je suis allé voir le match amical France- Argentine.

Étaient présent avec moi, Tom & Val, Tex, Madam, Paddos, Le penseur alias Kris , Maro et son pote ( désolé j'ai oublié son nom).
On est parti de Champs avec Tom, Val Kris et Paddos. A gare du Nord, on a demandé si le RER qui était devant nous s'arrêté au stade de France car sur le panneau la station n'était jamais allumé; le gars nous a répondu que normalement oui si il n'oublie pas de s'arrêter car ça arrive. Franchement en écoutant le lascars, et en le voyant, le mec de la SNCF devait être complètement perché, un gobeur de cachetons le gars.
On retrouve les Maro et son pote devant le MCDo ou on passe un peu de temps à faire la queue mais on s'en tire bien.
Puis direction le stade ou on attendra les deux restants dans le stade.

Passons au match:

L'équipe de France a démarré l'année 2007 du mauvais pied en s'inclinant mercredi en amical au Stade de France (1-0) face à l'Argentine, sur un but de Saviola.
Mais les Bleus sont apparus trop empruntés en première mi-temps, avant d'être plus entreprenants - en vain - en seconde période, face à un adversaire d'un autre calibre, avec l'Argentine, quart de finaliste malheureux du dernier Mondial face à l'Allemagne.
Cette rencontre n'était pas vraiment un cadeau pour Trezeguet car comme Vieira l'avait prédit, le match n'a pas été tout à fait amical. En témoigne cet accrochage entre Sagnol et Heinze avant la mi-temps, ou l'énervement d'Anelka en fin de match.
Les fans argentins ont même bien ri des maladresses des Tricolores en scandant les "Olé! Olé!" lors d'une passe à dix de la sélection albiceleste avant la pause.
le pire est arrivé sur une perte de balle Sagnol face à Cambiasso, débouchant - après une action argentine du côté d'Abidal, absent - sur une première frappe de Crespo, repoussée par Coupet dans les pieds de Saviola, qui ouvrait le score (15) pour son 11e but en 36 sélections.

Ribéry, trop altruiste, a beaucoup cherché à faire briller Trezeguet, alors qu'il aurait pu tenter d'avantage sa chance de loin, comme il l'a fait un peu tardivement en deuxième période.( Résumé (c'est même pas un résumé mais il y a peu de chose à dire en même temps)et photos AFP)




Dédicaces à Kris qui à réussit à envoyer un avion ( que voulez vous quand le match devient chiant et qu'on perd, on s'amuse comme on peut) du premier étage au permier rang en bas.

Dédicaces aussi à Maro pour son idylle naissante avec le cheminot du RER A.

Dédicaces à Madam qui aime bien haranguer la ligne de CRS.

Bref, on a bien rigolé en dehors du stade ( avant et après) mais une fois dans le stade, on a moins rigolé quand même, la faute à une équipe Argentine meilleur à celle de l'équipe de France qui en voulait moins qu'eux.