HIJACK STORIES
HIJACK STORIES (2000) est un drame sud africain réalisé par OLIVIER SCHIMTZ ( PARIS JE T'AIME), avec TONY KGOROGE ( BLOOD DIAMOND), RAPULANA SEIPHEMO ( TARZAN ET LA CITE PERDUE, MON NOM EST TSOTSI) et MOSHIDI MOTSHEGWA ( vu dans la série URGENCES).
Synopsis: En Afrique du Sud, dix ans après la fin de l'Apartheid, Sox Moraka (Tony Kgoroge), un jeune noir sappé comme un rappeur et à l'attitude décontractée, est fiancé à une fille blanche et vit dans un luxueux appartement du quartier blanc de Johannesburg, où il passe le plus clair de son temps à animer des émissions de clips vidéo. Souhaitant devenir une star de cinéma, il passe une audition pour jouer le rôle de Bra'Biza, un braqueur de voitures, mais on lui fait remarquer qu'il n'a pas le vécu nécessaire pour incarner un tel héros. Humilié par le réalisateur blanc qui le vire sans ménagement, Sox décide de se rendre dans les townships de Soweto afin d'appréhender au mieux son futur personnage, et même si pour cela il risque de tout perdre : le confort, la liberté, la vie. Il y retrouve Zama (Rapulana Seiphemo), l'un de ses amis d'école, devenu malfrat. Précipité dans le monde dangereux mais séduisant du crime, Sox se laisse entraîner par Zama et son gang, jusqu'à une nuit dramatique qui va remettre son avenir en question.
Bref, voilà un film rare car en provenance d'Afrique du sud. Un film que l'on pourrait mettre entre MENACE II SOCIETY et LA CITE DE DIEU de car son coté gangster américain et son coté exotique. Un film a été découvert au festival de CANNES dans la sélection officiel "un certain regard" en 2001. Un film qui est le second du réalisateur après avoir fait un brûlot sur l'apartheid. Un casting qui s'avérera une première pour la grande majorité du casting et une révélation avec TONY KGOROGE. Un scénario donc dans la veine des films cité tout en gardant cette fraîcheur sud africaine. Ainsi, on a un bon film de gangster made in south africa qui ravira les amateur du genre et fera découvrir au autre un cinéma sud africain influencé par le cinéma américain par moment tout de même.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire