THE 18 BRONZEMEN

THE 18 BRONZEMEN (SHAOLIN ET LES 18 HOMMES DE BRONZE) (SHAO LIN SZU SHIH PA TUNG JEN ) (1976) est un film de kung fu chinois réalisé par JOSEPH KUO ( LE RETOUR DES 18 HOMMES DE BRONZES, LES 7 GRANDS MAITRES DE SHAOLIN, SHAOLIN KUNG FU), avec TIN PENG ( A TOUCH OF ZEN, LE RETOUR DES 18 HOMMES DE BRONZE), CARTER WONG ( LE RETOUR DES 18 OMMES DE BRONZE, LES AVENTURES DE JACK BURTON DANS LES GRIFFES DU MANDARIN) et POLLY SHANG KUAN ( LE RETOUR DES 18 HOMMES DE BRONZE).



Synopsis:Durant la dynastie Ming, le Gouvernement est codirigé par des douzaines d’eunuques maléfiques. L’un d’entre-eux, Wei, avec l’aide de sa petite armée, dirige d’une main de fer le pays, n’hésitant pas à tuer tous ceux qui osent s’opposer à eux. Yung, l’une de leurs victimes parvient à s’échapper et atteint le Temple de Shaolin.Dix ans plus tard, le jeune homme qui a maintenant grandi, parvient à vaincre les légendaires 18 hommes de bronze et peut alors quitter le temple. Arrivé dans une petite ville, il se heurte à des hommes de Wei et à Hsiao sa fille adoptive. Yung leur annonce qui il est vraiment et leur ordonne de le dire à leur chef. Quelques jours plus tard, il est invité à un duel. Là, il est hélas laissé pour mort, mais il sera sauvé par Hsiao qui lui confie que tout comme lui, elle cherche à se venger du massacre de sa famille par le tyran. Le duo vengeur doit alors se perfectionner pour mener à bien son plan...



Bref, voilà un film de kung fu old school. Un film qui date de l'époque de la SHAW BROTHERS mais ce n'est pas un film de la fameuse maison de production hong kongaise. Un film qui est le chef d'oeuvre d'un réalisateur JOSEPH KUO dont la filmographie est prolifique mais n'a pas réussit à l'export. Un scénario classique et qui rappellera pas mal de film de la SHAW mais ici on a une autre approche, avec des effets spéciaux plutôt limiter et des combats sympathiquement chorégraphié sans pour autant transcender le genre. On notera la présence de CARTER WONG que beaucoup ont découvert avec JACK BURTON qui vole la vedette au véritable héro. Au final on passe un bon moment devant ce divertissement d'arts martiaux qui devrait à n'en pas douter satisfaire les amateurs du genre.